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ANNIVERSAIRE de mon blog : deux ans déjà !

Publié le par sylviane

ANNIVERSAIRE  de mon blog : deux ans déjà !
Mon blog a deux ans
Mon blog a deux ans

Pour l'anniversaire des deux ans de création de mon blog (déjà), j'envoie à mes lecteurs, un bouquet de fleurs, que j'ai peint sur toile à la peinture à l'huile, pour les remercier.

Les fleurs ne font elle pas toujours plaisir ?

Merci de votre fidélité.

Publié dans peintures

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Dessins humoristiques de J.J. BELTRAMO

Publié le par sylviane

Dessins humoristiques
Dessins humoristiques

Je vous ai montré plusieurs fois des dessins de Jean-Jacques BELTRAMO (comme dit son dernier recueil "L'homme qui dessinait à la radio", mais j'ai omis de vous présenter l'homme talentueux qui nous amuse régulièrement.

Dessins humoristiques de J.J. BELTRAMO
Dessins humoristiques de J.J. BELTRAMO
Dessins humoristiques de J.J. BELTRAMO
Dessins humoristiques de J.J. BELTRAMO
Dessins humoristiques de J.J. BELTRAMO
Dessins humoristiques de J.J. BELTRAMO

Jean-Jacques BELTRAMO est né le 30 septembre 1952 à Colomb Béchar (Algérie) de parents Antibois. Cet homme au grand cœur a toujours refusé d'exploiter son talent pour de l'argent et en faire une profession. Cependant, maintenant qu'il est à la retraite de son emploi de cadre à la caisse d'épargne, il exerce son talent avec bonheur. Il a mis son fameux coup de crayon humoristique au service de Radio Bleu Azur et au magazine monégasque " La principauté". En 2012, il créa une association " les rires du cœur" pour les enfants hospitalisés, en hommage de sa femme décédée. Son personnage récurant se nommant "Totor".

Il a également plusieurs cordes à son arc : la peinture : il a fait plusieurs expositions locales, la photographie : il expose partout en France en Italie et à Hong-Kong.

Tous ces talents pour un homme (que je connais) extrêmement doué, (vous exposez un sujet par exemple : le beau temps ou la pluie, trente secondes après vous avez un dessin amusant à ce sujet ). Il est modeste, drôle et très, très sympathique.

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Le peintre Yves BRAYER

Publié le par sylviane

Yves BRAYER
Yves BRAYER

Voici quelques temps, j'ai lu sur Face book un article, sur le blog littéraire de Venise, qui rendait hommage à Yves Brayer. Cela m'a emporté aux premières vacances où j'ai découvert la Côte d'Azur. Tout comme maintenant, je courais visiter les expositions de peintures, il y en avait beaucoup et j'ai tout de suite aimé les oeuvres de monsieur Brayer. J'avais d'ailleurs acheté un ouvrage illustré de ses oeuvres, édité par la Galerie Romanet à Paris, limité à 2500 exemplaires, (le mien est le 1812).

 

Yves BRAYER, est  né le 18 novembre 1907 à Versailles et mort 29 mai 1990 à Paris. Il était peintre, graveur, illustrateur et décorateur de théatre français.  Il était fidèle à la tradition de l'art figuratif et un des maîtres de l'Ecole de Paris. Il utilisait une grande variété de technique et il est l'auteur d'une grande production de paysages, compositions, figures et natures mortes.

La plus grande partie de son enfance s'est déroulé à Bourges (c'est aussi pour cela qu'il était symphatique à mes yeux), Son père officier polytechnicien et bon cavalier lui transmettra sa passion pour les chevaux. Le  séjour en provence avec sa mère lui fera aimer les paysages lumineux  du sud, qui se retrouvent dans beaucoup de ses peintures. Il ira à l'Ecole des Arts Appliqués à Bourges.

Ses paysages de Provence et de Camargue feront sa renommée.

En 1957, il sera élu membre de l'Académie des beaux Arts.

Yves Brayer est également l'auteur de décorations murales, de cartons de tapisseries, de maquettes de décors et de costumes pour le théatre français, ainsi que les Opéras de Paris, Amsterdam, Nice, Lyon, Toulouse, Bordeaux et Avignon.

Le peintre Yves BRAYER
Le peintre Yves BRAYER
Le peintre Yves BRAYER
Le peintre Yves BRAYER
Le peintre Yves BRAYER
Le peintre Yves BRAYER
Le peintre Yves BRAYER
Le peintre Yves BRAYER
Le peintre Yves BRAYER

Publié dans peintures, Yves BRAYER

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Je l'ai prise comme un oiseau, poème de André LOMBARD

Publié le par sylviane

Poème d'André LOMBARD
Poème d'André LOMBARD

Je viens de lire ce joli poème sur Face book et il m'a bien plu. Monsieur LOMBARD a bien du talent.



JE L’ai prise comme un OISEAU

Je l’ai prise par surprise
Comme on prend un oiseau
En la couvrant de mon chapeau …


Puis me saisissant de son corps de moineau
L’ai enfermée avec douceur et fermeté
Dans la cage improvisée de ma main serrée
Ayant pris soin de replier ses ailes sur son joli duvet

Lui laissant, dans cette étroite cavité,
Juste assez de place pour survivre et respirer
Ma main agissant sur son corps fluet
Une douce pression juste et mesurée

Et j’ai senti dans ce doux moment
Comme un léger chatouillement
Quand son cœur, dans son délicieux affolement,
Se mit à battre fortement

Puis pris d’un léger remord
Ma main, malgré moi,
S’est ouverte largement
Libérant ses ailes
Qui firent en s’agitant
Un bruit assourdissant

Et je l’ai vue, s’envoler au loin
Jusqu’à n’être plus qu’un point …

Comme fit ta silhouette
Quand, par ce jour de printemps,
Tu me quittas vraiment …





Poème de André LOMBARD

Il était une fois "MILLE POETES"

Publié dans Poésie

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MES DESSINS, croquis de vacances sur le vif

Publié le par sylviane

croquis sur le vif
croquis sur le vif

Quelques petits croquis faits au bord de la piscine pendant mes vacances, juste pour me faire un peu la main et me distraire.

MES DESSINS, croquis de vacances sur le vif
MES DESSINS, croquis de vacances sur le vif
MES DESSINS, croquis de vacances sur le vif
MES DESSINS, croquis de vacances sur le vif
MES DESSINS, croquis de vacances sur le vif
MES DESSINS, croquis de vacances sur le vif
MES DESSINS, croquis de vacances sur le vif

Publié dans dessins

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INFERNO de Dan BROWN

Publié le par sylviane

ROMAN de DAN BROWN
ROMAN de DAN BROWN

Pendant mes vacances (déjà finies), j'ai lu pratiquement en entier (j'ai juste terminé les dernières pages cette semaine), le dernier DAN BROWN : "INFERNO", dont Robert Langdon est pour la quatrième fois son héros.

Quand DA VINCI CODE est paru avec le succès qu'on lui connait, poussée et en compagnie de mes amies, nous avons acheté une édition de luxe illustrée, des Editions France Loisirs, avec plein de photos, de croquis, d'images anciennes et d'explications. J'ai adoré ce livre. Je me suis dit que je devais lire d'autres œuvres de ce monsieur. Ma voisine, sur la même passion du moment que moi, me prêta "ANGES ET DEMONS" (que j'ai acheté depuis) et "FORTERESSE DIGITALE" (le seul qui me manque) j'ai continué en achetant "DECEPTION POINT" et dès sa parution une amie m'offrit "LE SYMBOLE PERDU". J'ai lu tous ces livres avec le même enthousiasme. La tentation de me replonger dans l'univers complexe et bouillonnant de cet écrivain me fit acheter dès sa parution " INFERNO", toutefois j'ai patienté peu de temps, jusqu'au livre de poche, (ce dernier est plus petit et mes étagères commencent à avoir moins de place). Encore une fois, je n'ai pas été déçue. J'ai aimé être propulsée à deux cent à l'heure dans une fuite éperdue pavée de rebondissements, dans les villes de Florence, Venise et Istanbul, que j'ai revisité à nouveau, dans une visite approfondie, guidée par un professeur de symbologie Robert Langdon. J'ai retrouvé la manière identique de Dan Brown à dérouler ses récits, mélangeant habilement en montant crescendo, le déroulement des situations, les intrigues, nous donnant à croire que certains sont des gentils et d'autres des méchants, mais parfois cela reste à démontrer.

Pour certains (je l'ai lu) ce n'est peut-être pas de la grande littérature, mais pour moi, commencer un livre et avoir beaucoup de mal à le lâcher avant la fin, représente une des premières qualités d'un livre.

RESUME du livre :

Robert Langdon, professeur de symbologie a Harvard, se réveille en pleine nuit à l'hôpital. Désorienté, blessé à la tête, il n'a aucun souvenir des dernières trente-six heures. Pourquoi se retrouve-t-il à Florence ? D'où vient cet objet macabre que les médecins ont découvert dans ses affaires ? Quand son monde vire brutalement au cauchemar, Langdon décide de s'enfuir avec une jeune femme, Sienna Brooks. Rapidement, il comprend qu'il est en possession d'un message codé, créé par un éminent scientifique, qui a consacré sa vie à éviter la fin du monde, une obsession qui n'a d'égale que sa passion pour INFERNO, le grand poème épique de Dante. Pris dans une course contre la montre, Langdon et Sienna font tout pour retrouver l'ultime création du scientifique, véritable bombe à retardement, dont personne ne sait si elle va améliorer la vie sur terre ou la détruire...

PROLOGUE

"L'ombre" comme il se definit lui-même ,a décidé d'en finir avec la vie. Il court le long des berges de l'Arno poursuivit par les hommes du Président dont les bureaux opèrent sur un yacht luxueux nommé le " Mendacium". "L'ombre" est un des plus prestigieux et dangereux de ses clients. Ce dernier pousse la porte de fer en bas de l'escalier du Campanile de la Badia Florentina et monte vivement l'escalier. Des voix se font entendre violentes, presque insultantes, mais plus il avance vers sa voie sans issue, les appels se font suppliants chargés de désespoir. "Dites-nous où vous l'avez caché". "L'ombre" poursuit sa course les traitants mentalement d'ignorants d'obstinés, alors que lui se targue d'être "le sauveur de l'humanité" monologuant des paroles du poème de Dante Alighieri tiré de la "Divine comédie", son modèle. Puis après un regard vers son amour qui le regarde au loin avec une grande tristesse, il se jette dans le vide.

Robert Langdon se réveille en pleine nuit à l'hôpital, amnésique, déboussolé, un blessure à la tête. Soigné par la doctoresse anglaise Sienna Brooks et le docteur Marconi, il n'a aucun souvenir des dernières trente-six heures. Devant son agitation et son insistance et craignant que son affolement nuise à son état physique, la doctoresse lui explique que quelqu'un a essayé de le tuer et lui a tiré une balle dans la tête.

Une femme nommée Vayentha se présente à l'hôpital désirant voir Robert Langdon, impatiente et devant le refus qui lui est infligé, elle se dirige vers la chambre de Langdon en tuant le docteur Marconi qui essaye de se mettre en travers de sa route. La doctoresse Sienna Brooks aide Robert Langdon à fuir en courant, en prenant les escaliers de secours. Heureusement pour eux un taxi se trouve tout près. Sienna emmène Robert dans son vieil appartement, lui donne des comprimés de caféine pour annuler l'effet du sédatif qu'il a avalé à l'hôpital. Puis elle va chez son voisin en face de chez elle, emprunter des vêtements pour Langdon, celui-ci s'étant enfuit avec une chemise de l'hôpital. Pendant son absence, Langdon regarde dans les affaires de la jeune femme et apprend, sans l'avoir vraiment cherché, qu'elle est considérée comme une surdouée d'une intelligence hors du commun avec un QI de 208, raison pour laquelle elle a toujours été rejetée et isolée depuis son enfance à cause de son cerveau plus vascularisé qu'à la normale. Dans tous ces papiers, un programme de théâtre "songe d'une nuit d'été" fait ressurgir un rêve angoissant toujours celui d'une vieille dame se trouvant près d'un lac, "je suis la vie" dit-elle et un masque aux yeux verts et au nez pointu apparaît et dit "je suis la mort".

Sur le "Mendacium", Lawrence Knowlton coordinateur Logistique du consortium dirigé par le Président, visionne la vidéo de l'Ombre, qui se nomme en réalité Bertrand Zobrist, sommité en matière scientifique. Ce dernier a demandé au Président de faire découvrir ce document au monde entier, un jour bien précis. Mais devant les images inquiétantes que renferme cette vidéo, le président est obligé de prendre des décisions qu'il n'avait pas envisagées, furieux de ne pas avoir compris que ce client pourtant très bon payeur et très riche, allait lui pourrir la vie et celle des autres.

Pendant ce temps la doctoresse Sienna Brooks explique à Langdon en lui montrant ce qu'à son arrivée à l'hôpital, elle avait découvert dans la poche secrète de sa veste, un objet sphérique et étrange, Robert comprend immédiatement qu'il est présence d'un message codé. Il va devoir le déchiffrer, l'analyser. Dès ce moment, d'une part pour échapper à ses poursuivants, et de l'autre, pour résoudre cette énigme qui semble cauchemardesque, une course infernale va commencer, et durera tout le long du récit et nous laissera hors d'haleine (moralement ) à la fin du livre.

Et si l'on réfléchissait que les motivations du "méchant" qui se considère comme le sauveur de l'humanité, étaient fondées? Dans ses livres Dan Brown pose des questions, ne donne pas de solutions, mais la croissance démographique de la race humaine est, en effet, en constante progression et cette idée, si on y pense, fait peur pour l'avenir.

Comme tous ses livres, j'aime bien ce dernier opus.

Publié dans roman

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