RÉSUME DU LIVRE

Bornholm, une île danoise de la mer Baltique, fin des années 1990. Le cadavre d'une jeune fille est retrouvé dans un arbre, son vélo broyé au bord de la route. Aucune trace du chauffard ; affaire classée. Sauf pour un inspecteur de la police locale qui finit dix-sept ans plus tard par demander l'aide de l'inspecteur Carl Morck, avant de se tirer une balle dans la tête.

A l'initiative de Rose, l'assistante du flegmatique Morck, l'insolite trio du Département V en charge des cold cases débarque sur l’île de Bornholm. En remuant le passé, ils prennent le risque de réveiller de vieux démons....

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Car Morck, inspecteur au département V, est interrompu alors qu'il faisait une sieste prolongée, soi-disant alors qu'il effectuait "un processus de réflexion compliqué", par Assad (premier assistant du département V) lui demandant d'arrêter son téléphone de sonner en le décrochant, précisant que Rose (deuxième assistante) n'en pouvait plus de l'entendre, de même que lui. Après s'être fait violence, Carl répond à un collègue policier de l'île de Bornholm, le brigadier Christian Habersaat. Celui-ci lui explique qu'il va bientôt partir en retraite et qu'il n'a pas réussi à résoudre une affaire survenue  dix-sept ans auparavant, pensant à juste titre que le département V, spécialisé dans les dossiers anciens pourrait trouver la vérité et le coupable, avant son départ.

Mais Morck refuse de l'aider prétextant être débordé. Vingt minutes après, Rose, furieuse, montre à son chef le mail qu'elle vient de recevoir  d'Habersaat précisant que le département V était son seul espoir. Le lendemain ce dernier se suicida pendant son pot de départ devant ses collègues horrifiés..

Le trio du département V, se déplace en force sur l'île afin d'aller examiner ce dossier de plus près.

Le brigadier Habersaat avait découvert pour son malheur, en passant sur la route qui le menait chez lui, en levant les yeux par hasard, une jeune fille accrochée assez haut dans les arbres, très certainement projetée par un véhicule puissant, le vélo écrasé gisait au sol dans le fossé. Cette vision d'horreur, restera encrée dans le cerveau du brigadier pour le restant de sa vie, car après des recherches soutenues, il ne trouva pas le coupable.

Les trois policiers, après avoir pris contact avec le directeur de la police monsieur Birkedal, furent autorisé par celui-ci, à commencer leur enquête, en leur donnant les clés de la maison d Habersaat (ce dernier divorcé, vivait seul) qui s'avère être une source de renseignements importante, sur toutes les personnes ayant croisées la jeune victime Alberte. Ses parents, son frère, ses amis, ses petits amis, les dossiers envahissaient toute les pièces de la maison de ce pauvre Habersaat.

Carl, Assad et Rose se mirent donc au travail et visitèrent après avoir pris connaissance de ses notes, toutes les personnes qu'il avait lui-même convoquées à l'époque.  Il avait découvert que la jeune fille avait fréquenté un homme plus âgé qu'elle, dont il n'avait pas retrouvé la trace. Ils se mirent donc à  le chercher et plus ils avançaient dans l'enquête, plus il s'avérait que cet homme avait déclenché  les passions des dames. De part sa belle personne physiquement, mais aussi de part sa croyance l'ayant transformé en adorateur et grand patron du temple du soleil.

Bien entendu, tout se complique au fur et à mesure que l'enquête progresse, Carl et Assad échapperont de justesse à la mort. Rose, atterrira en soins intensifs à l'hôpital à cause de son  état psychique perturbé. 

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Comme les cinq autres romans policiers du département V, celui-ci , n'échappe pas à la règle, d'être passionnant, intensif, narré de manière vivante et cohérente, avec une intrigue très bien élaborée.

J'ai encore adoré  ! J'attaque  le septième roman du département V "Selfies"

L'exposition de peinture à l'Odakim du Poinçonnet, bien que modeste en taille, a été très agréable, bien organisée par madame Nelly Desgourdes ( une de ses œuvres,  photo à gauche). Le vernissage du samedi 8 a été très agréable, avec un buffet apéritif excellent. De bons artistes, dont ci-après, les trois premières œuvres de Mme Desgourdes, Les suivants étaient d'une facture différente, un peu futuriste, les mouvements de la mer sous plusieurs visions délicates et magiques. Les miens sont au fond de la salle sur la dernière photo;

BRAVO   Jean-Jacques 

Ce dimanche j'ai exposé six de mes tableaux dans l'église de ce joli petit village. Toutes sortes d'arts étaient représentés.

Peintures à l'huile, à l'acrylique, aquarelle, dessins à l'encre de chine, au pastel, etc.

De la calligraphie, enluminure sur parchemin, de la ferronnerie d'art, des objets artistiques faits avec de la récupération de métaux, des métiers de bouche, bref, dans toute la rue principale et les édifices principaux de la ville, l'église, la mairie etc,  étaient réquisitionnés pour mettre en valeur ces artistes. Les œuvres de  peintures et dessins étaient majoritaires. Voici quelques photos de cette fête qui manquait un peu de public.