peintures

Le mélange d'une éducation ukrainienne et le bonheur qu'elle ressent dans la campagne anglaise, inspire fortement Iryna Yermolova et la pousse à peindre à temps plein. Ses couleurs éclatantes de lumière m'ont séduite, elle exécute des modèles que je ne dessine pas souvent , des nues et des natures mortes. Sa peinture au couteau mélange les empâtements de la peinture à l'huile lui donnant plus de relief.

Elle vit actuellement à Dorchester, Dorset en Angleterre. Son travail a été présenté dans le Dorset Life Magazine, plus récemment dans Artistes et Illustrateurs (janvier 2014). Lauréate du prix Windsor et Newton par vie Dessin Portrait en 2011. Elle a exposé avec l'Institut royal des peintres à l'huile au Mail Galleries et Chianchiano Biennale, Italie 2013.

"J'adore les couleurs, j'aime expérimenter avec la texture et différents médias. I love my couteau plus de de mon pinceau. Les sujets de mes tableaux ne sont pas si important pour moi que la lumière, l'ombre, les couleurs et la composition" S'exprime Iryna.

Mes amies savent ce que j'aime en matière d'art et encore une d'elles m'a envoyé par mail, Julien Dupré que je connaissais depuis longtemps, tout en l'ayant un peu oublié. Pourtant ces scènes campagnardes peintes avec une grande précision, me rappellent mes vacances dans ma prime jeunesse. A cette époque, j'accompagnais mes grands-parents qui allaient donner un coup de main à nos cousins fermiers, pour les moissons, nous revenions "à la ville", chargés de légumes divers, du beurre, du bon de lait de vache et des œufs bien frais. Bien entendu, j'étais toute petite et je m'amusais bien avec mes petits cousins, grand-mère beaucoup moins, le travail était pénible. Cependant les blés étaient fauchés, assemblés et portés mécaniquement, avec le tracteur. mais hélas, ils étaient chargés à la fourche sur la remorque et là, il fallait avoir de bons bras. Je dois avouer que j'aimais bien la campagne et surtout les animaux. Oui, ces belles peintures projettent mes souvenirs bien loin, avec les attitudes, les mouvements, les repos à l'abri de la chaleur sous un gros arbre pour se désaltérer, l'heure où toute la famille reprenait des forces en mangeant avec bonheur de bons aliments simples mais bons, puis faire une petite sieste.

Quelques renseignements sur ce peintre de talent :

Il naît à Paris en 1851 dans une famille aisée. Son père, Jean-Marie Dupré est bijoutier et joailler, rue du Paradis à Paris. Julien se dirige très jeune vers la peinture en étudiant dans les ateliers de Désiré François Laugée (1823-1896), peintre et poète, dont il épousera la fille aînée Marie. Introduit par son beau-père dans le milieu artistique, Dupré expose régulièrement au Salon de Paris de 1876 à 1910 et obtient de nombreuses récompenses. Il travaille à la fois dans son atelier parisien du Boulevard Flandrin, dans le 16e arrondissement, et en pleine campagne, conformément aux préceptes de l'Ecole de Barbizon. Julien Dupré et Marie Laugée (1851-1937) ont eu trois enfants, Thérèse, Jacques et Madeleine. Thérèse devint également peintre. Œuvre Eloigné de l'académisme par la thématique de son œuvre, Julien Dupré ne se laissera pas vraiment influencer par l'impressionnisme, la grande innovation artistique de l'époque. La critique le lui fera parfois remarquer. Ainsi, pour le salon de 1886, un critique observe : « M. Julien Dupré est un campagnard assez robuste. Il a une manière large et résolue qui refuse obstinément de sacrifier à la maladie nouvelle : il n'estompe ni les formes ni les tons dans la buée grise dont on nous vente les séductions. Il croit que la prairie est verte, et il a le courage de le dire. » Voilà en une phrase une franche approbation du naturalisme et une totale incompréhension de l'impressionnisme.

Dans un mail envoyé par une de mes amies qui savent combien j'aime la peinture et la poésie, j'ai découvert Arlette Paradis. Je vous la fais apprécier si vous ne la connaissez pas. Voici la présentation qu'elle fait d'elle-même. N'est-ce pas merveilleux de présenter son talent en vers.

Je suis la ligne de conduite de mon blog " des artistes connus ou inconnus" Madame Paradis, est une autodidacte, ses oeuvres, dont je n'ai mis qu'une petite partie, sont pleines de charmes de douceur et de fraîcheur, comme elle le dit elle-même.

Voici quelques une de ses quelques unes de ses oeuvres :

"Je suis née à Jonquière en 1948

J'ai passé mon enfance à Ste Anne de Beaupré

et ce que je retiens de ma jeunesse,

surtout l'amour de la nature,la liberté et mon habilité

à pouvoir dessiner tout ce que je voyais

Cette belle nature m’as permis de développer

une curiosité saine et naturelle avec beaucoup de liberté

et énormément de place pour la créativité.

La liberté dans le choix de mes sujets, la profondeur de mes toiles

, la sensation de calme et de sérénité sont des bases importantes pour moi.

La peinture s’est imposée à moi naturellement en 1984.

Je suis un peintre essentiellement autodidacte.

Pour moi peindre est un état d’âme,

c’est rendre une émotion, fixer un instant dans le temps.

Je m'’inspire d’une impression, d’un moment tendre,

d’un doux sentiment de calme et de sérénité,

d’une belle phrase, de la nature sous toutes ses formes,

des enfants, des gens qui l’entoure, des saisons,

de circonstances.

Tous ces sujets me font vibrer.

Mes pinceaux glissent souvent sur une toile blanche ou le défi est de lui donner la vie,

s’égarent sur un bois mou, chatouillent quelque fois une coquille d’œuf,

ou palpitent sur de l’ardoise obscure pour enfin frémir sur une douce texture fine

en y laissant des courbes plus ou moins colorées.

L’acrylique et l’huile se marient souvent dans ses créations pour donner une touche de douceur romantique.

Parfois je m'évade sur le verre pour y créer des motifs remplies de douceur et d'originalité.

J'aime faire vivre aux gens un moment d’évasion,

les faire voyager à travers mes couleurs et mes émotions,

leur faire voir que tout ce qui nous entoure peut être beau quand on sait les regarder.

Comment peut-on faire toute sa vie, sans rêver ni de gloire ni d’argent,

ni de grands succès et pourtant réussir mieux que les ambitieux,

les vaniteux et les snobs.

Je veux ouvrir les yeux et le cœur des gens

sur la simplicité d’un moment au point ou mes peintures s’installent

dans leur mémoire jusqu’à l’infinie.

Je désire passer dans votre vie sans vous bousculer

et presque en m’excusant de vous avoir fait découvrir ma passion.

Je veux vous faire voir comment tout ce qui nous entoure peut-être beau…

Cependant il vous faut savoir regarder et apprécier.

Je ne fais pas de vagues, ne suis pas dans les grandes galeries,

je me contente de peindre simplement,

de m’exprimer selon ma vision à moi et librement, sans contrainte.

Je fais ce que j’aime et je le faissans m’embarrasser de la fréquente indifférence

et de trop lointaines approbations.

Je le fais bien et avec amour et mes peintures sont imprégnées d’une grande sensibilité,

d’émotion, de calme et de tendresse.

Je ne suis qu’une brasseuse de couleurs,

une modeste barbouilleuse de sentiments

mais quel récompense quand je sens dans le regard des gens,

le plaisir de découvrir…et de voir dans leurs yeux une étincelle d’admiration

pour le travail que j’accomplis.

Avoir le sentiment discret d’avoir oser frissonner

devant une toile qui leur rappelle souvenirs ou sentiments partagés.

La grandeur d’un succès ne dépend pas seulement du talent de celui qui le réalise mais…. souvent plus du talent de ceux qui savent l’apprécier. "

le 16 Novembre 2015 j'avais mis des plusieurs dessins de mon ami JJ Beltramo et un de son camarade O. Smith pour parler de façon plus douce des attentats de Paris, un seul dessin (de la tour Eiffel), ce soir je veux exposer dans mon blog plusieurs de ses peintures, nommées "les délires d'Olive"

Je dois dire que ce n'est pas le genre de peinture que j'affectionne, mais "les délires d'Olive" portent bien leur nom. Cette peinture, mi- abstraite, mi-figurative-narrative avec ses couleurs vives et belles , m'a tout de suite plu. C'est gai, coloré, violent, bizarre, amusant, très décoratif, bref, j'aime bien. En résumé, même si l'on n'aime pas forcément un style, on peut le trouver à son gout s'il est traité d'une façon toute personnel par son auteur.

Le dimanche 27 septembre, je suis allée faire un tour à la brocante de Déols, j'ai trouvé deux grands cadres, dont je voulais récupérer les encadrements pour mes tableaux et arrivée à la maison, je les ai regarder de plus près et j'ai trouvé ces grandes toiles 80 X 70, plutôt pas mal du tout, du coup je les garde, je vais devoir réparer les encadrements et surtout les nettoyer, les voici :

Au dos des toiles était marqué : le nom du peintre, il s'agit de Guy BOULARAND, 58310 BOUHY, sous-bois Vincennes,1979

Après les dessins un peu surréalistes non, très surréalistes, j'ai photographié quelques peintures toutes aussi surprenantes.

Je viens enfin de terminer la décoration de ma table de mon salon de jardin que j'avais un peu laissée en plan, pour partir en vacances.